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LA RÉHABILITATION DE VOTRE ARCADE DENTAIRE SUPÉRIEURE:
LE PROTOCOLE de pose d'implants MAXILLAIRES en mci

QUELS SONT LES PRINCIPES CHIRURGICAUX FONDAMENTAUX À PRENDRE EN COMPTE DANS LE PROTOCOLE MCI AU MAXILLAIRE SUPÉRIEUR ?​

Si votre cas clinique permet de faire une extraction implantation avec mise en charge immédiate ou MCI, les deux points opératoires fondamentaux à prendre en compte, sont les suivants :
  • Les dents doivent extraites au moment de la pose des implants pour minimiser la résorption osseuse alvéolaire post extractionnelle physiologique et inéluctable.

En effet, le point déterminant de notre protocole est de poser les implants dans un os natif la résorption osseuse après une extraction dentaire est un phénomène naturel et souvent inévitable. Cette perte de volume peut rendre l’installation ultérieure d’un implant dentaire plus compliquée, en particulier si la structure osseuse devient insuffisante pour supporter un implant. Notre protocole, qui consiste à poser immédiatement les implants lors de l’extraction dentaire, vise donc à minimiser cette perte osseuse. C’est une approche sensée et couramment utilisée dans la pratique dentaire moderne. Cependant, il est important de noter que cette approche peut ne pas être appropriée pour tous les patients ou toutes les situations. Par exemple, si une infection est présente au moment de l’extraction, il peut être nécessaire d’attendre que l’infection se résorbe avant de poser un implant. Il est aussi crucial d’avoir une évaluation adéquate de la qualité de l’os natif restant pour assurer que l’implant aura un support adéquat. Dans certains cas, des procédures supplémentaires comme le greffage osseux pourraient être nécessaires pour assurer un support suffisant à l’implant. La clé d’un bon protocole de pose d’implants est d’adopter une approche individualisée, en tenant compte de l’état spécifique de chaque patient et en modifiant l’approche si nécessaire pour assurer les meilleurs résultats possibles.  

  • Les greffes osseuses d’apposition doivent faites dans le même temps opératoire au moment de la pose des implants, à partir d’os de banque, soit allogène (humain) soit (et/ou) xénogène (animal) enrichies en facteurs de croissance tissulaire autologues par l’adjonction de membrane de PRF.

Les greffes osseuses sont une option viable lorsqu’une quantité insuffisante d’os est disponible pour soutenir un implant. Différents types de matériaux de greffe osseuse peuvent être utilisés, y compris l’os allogène (humain) et l’os xénogène (animal).
L’os allogène est généralement prélevé sur un donneur humain, puis traité pour éliminer tous les composants cellulaires et potentiels agents pathogènes avant d’être utilisé.
L’os xénogène, quant à lui, est souvent dérivé de bovins, traité de manière similaire pour éliminer tout risque de transmission de maladies.
L’adjonction de la membrane de PRF (Fibrine Riche en Plaquettes) est une technique qui peut aider à améliorer la guérison et la croissance de l’os. Le PRF est un concentré de plaquettes autologues (du patient lui-même) qui peut être appliqué sur le site de la greffe pour favoriser la guérison. Les plaquettes sont connues pour libérer des facteurs de croissance qui peuvent aider à stimuler la guérison et la régénération tissulaire.
Ces techniques sont effectuées dans le même temps opératoire que la pose de l’implant pour minimiser le nombre de procédures nécessaires et potentiellement améliorer l’expérience globale du patient.
Cependant, il est important de souligner que chaque cas est unique et nécessite une évaluation individuelle par un chirurgien-dentiste compétent pour déterminer le plan de traitement le plus approprié.


Sur le principe, il s’agit de réaliser exactement la même intervention qu’au maxillaire inférieur (mandibule).
Toutefois, l’anatomie du maxillaire supérieur pose des problèmes spécifiques qui viennent éventuellement s’ajouter et complexifier la pose d’implants dans cette zone et le schéma opératoire.
Effectivement, bien que les interventions au niveau du maxillaire supérieur et du maxillaire inférieur (mandibule) puissent se ressembler dans leurs principes de base, l’anatomie spécifique du maxillaire supérieur peut rendre la pose d’implants plus complexe.
Premièrement, l’os de la mâchoire supérieure a tendance à être plus poreux et moins dense que celui de la mâchoire inférieure, ce qui peut rendre la stabilisation de l’implant plus délicate.
Deuxièmement, la proximité des sinus maxillaires peut également compliquer la pose d’implants. En effet, si l’os sous-jacent aux sinus est trop mince pour soutenir un implant, une élévation du sinus (sinus lift) peut être nécessaire. Il s’agit d’une procédure qui permet de « soulever » le plancher du sinus et de placer un greffon osseux en dessous, créant ainsi plus d’espace pour l’implant.
Troisièmement, le positionnement des implants doit être précis afin d’éviter d’endommager les structures anatomiques importantes, comme le nerf infra-orbitaire.
Enfin, le coût de la pose d’implants au maxillaire supérieur peut effectivement être plus élevé en raison de ces complications potentielles et des procédures supplémentaires qui peuvent être nécessaires, comme le sinus lift. Cependant, chaque cas est unique et le coût total dépendra de nombreux facteurs, notamment de l’état spécifique du patient et des procédures exactes requises.

QUELLES SONT LES TROIS GRANDES DIFFICULTÉS À SURMONTER POUR VISSER UN BRIDGE COMPLET IMPLANTO-PORTÉ EN MISE EN CHARGE IMMÉDIATE SUR L’ARCADE SUPÉRIEURE

La première difficulté est le degré de résorption verticale et horizontale initiale du mur osseux palatin dans la région antérieure où les implants doivent être logés. Le principe directeur de nos techniques chirurgicales est que le mur osseux alvéolaire doit être suffisant dans les trois dimensions de son volume pour placer des implants. Pour respecter ce principe, il faut utiliser des techniques opératoires :
  • Qui évitent de faire perdre la hauteur d’os alvéolaire nécessaire afin de faire une prothèse à la bonne dimension verticale d’occlusion (DVO) ; 
  • Qui bloquent la résorption osseuse au maximum en induisant une régénération osseuse selon les principes de la dentisterie régénérative avec le PRF ; 
  • Qui anticipent la perte osseuse ou corrige celle d’ores et déjà actée en reconstruisant de façon optimum le volume osseux : greffes osseuses.  
 
En conséquence : – Les dents devront être extraites au moment de l’intervention de pose des implants afin d’éviter une résorption osseuse désastreuse préalable. – Des greffes osseuses d’apposition allogéniques et/ou xénogéniques associées au PRF, sur toute la circonférence de l’arcade implantée, seront systématiquement faites, au moment de la pose des implants, pour compenser l’inévitable résorption osseuse physiologique post extractionnelle et les éventuelles lacunes osseuses. Toutes nos informations sur ce sujet des greffes osseuses et du PRF. En revanche, si les extractions dentaires ont déjà été faites il y a longtemps, alors le maxillaire est peut-être d’ores et déjà fortement résorbé. Ou encore, si la maladie parodontale (déchaussement des dents) est ancienne et quasi terminale alors l’os alvéolaire le long des racines à d’ores et déjà été détruit sur la plus grande hauteur des racines dentaires. Dans ces cas, le résultat esthétique, avec cette impression satisfaisante que les couronnes dentaires en céramique vissées sur les implants « sortent littéralement » de la gencive, sera très difficile à obtenir. Une fausse gencive (de préférence en cosmétique céramique rose) appliquée sur le pourtour des dents en céramique du bridge implanto-porté, sera quelque fois une obligation esthétique.
La hauteur des dents et de la dimension verticale d’occlusion (DVO) est déterminée par le degré de résorption verticale du mur palatin dans la région antérieure où les implants doivent être logés.
  • La bonne hauteur des dents détermine la bonne dimension verticale du bas du visage (DVO). 
  • Pour conserver ou retrouver cette dimension verticale du bas du visage (DVO) nous serons dans certains cas obligé de fabriquer une fausse gencive en céramique autour de la couronne céramique entre celle-ci et l’implant dentaire intra osseux.
De cette façon, nous pouvons rehausser le bridge implanto-porté sans avoir un effet de dents anormalement allongées ce qui est très disgracieux. Cette fausse gencive en céramique (ou en résine) est totalement invisible pour les personnes qui vont vous regarder.

QUELLES SOLUTIONS CHIRURGICALES SERONT RÉALISÉES POUR LEVER LES DIFFICULTÉS TECHNIQUES SPÉCIFIQUES LIÉES À L’ANATOMIE DES SINUS DU MAXILLAIRE SUPÉRIEURE AFIN DE POSER DES IMPLANTS EN MCI ?

LA PREMIÈRE POSSIBILITÉ DE CONFIGURATION CLINIQUE DANS UNE INTERVENTION DE POSE D’IMPLANTS EN MCI

Quelque fois la situation clinique suivante se présente:

 

La résorption osseuse verticale et horizontale des murs osseux, antérieur et postérieur, n’est pas suffisamment importante pour empêcher la pose d’implants antérieurs et postérieurs.

MAIS, en revanche, elle est suffisamment importante dans les secteurs postérieurs pour indiquer de pratiquer des greffes osseuses de type « sinus lift » afin de poser les implants postérieurs de longueurs suffisantes.

 

Cette configuration clinique est classique lorsqu’il y a des résorptions osseuses importantes à la suite d’extractions dans les secteurs postérieurs molaires et prémolaires.

 

Dans ce cas le volume osseux nécessaire est suffisant pour « bloquer » des implants dans l’os (fixation primaire) MAIS insuffisant pour poser des implants de bonne dimension pour la fixation solide d’un bridge complet (Full arch.) en MCI.

 

La solution est de faire un ou deux greffes osseuses et/ou de PRF pour combler le sinus (sinus lift droit et/ou gauche) en même temps que l’intervention de pose des implants postérieurs.

 

Les implants posés pourront être mis en charge immédiatement à condition qu’ils aient une fixation primaire suffisante de 35 newtons de torque. Sinon ils seront mis en nourrice en attendant leur ostéo-intrégration et seront mis en charge plus tard au moment de la pose du bridge implants-porté définitif.

Pour réaliser les extractions ainsi que la pose des implants et la pose du bridge résilient MCI au maxillaire, le protocole est exactement le même qu’à la mandibule.

Les honoraires sont identiques pour l’ensemble des interventions avec la prothèse résiliente en mise en charge immédiate.

Au maxillaire, s’il est nécessaire de pratiquerl un ou deux sinus lift (selon le cas) les honoraires ne sont pas inclus dans le forfait opératoire MCI car ce sont des interventions distinctes à celle de la pose d’implants avec MCI :

C’est en général un forfait opératoire pour chaque côté.

Les honoraires chirurgicaux n’incluent pas les honoraires du bloc opératoire ni ceux de l’anesthésiste.

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Le sinus lift, également connu sous le nom de comblement sinusal, est une procédure chirurgicale utilisée en implantologie dentaire pour augmenter la quantité d’os dans la région postérieure de la mâchoire supérieure.

Lorsqu’il y a une perte osseuse dans cette région, souvent due à la résorption osseuse après une extraction dentaire ou en raison de la forme naturelle du sinus maxillaire, le sinus lift permet de créer un espace supplémentaire en soulevant le sinus maxillaire et en comblant l’espace avec un matériau de comblement osseux.

Cette augmentation de volume osseux permet ensuite de placer des implants dentaires de manière stable et sécurisée. Le sinus lift est une procédure avancée qui nécessite une expertise chirurgicale et une évaluation préalable approfondie pour déterminer la faisabilité et le succès de l’intervention.

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L’expression « All-on-8 » fait référence à une technique de restauration dentaire implanto-portée qui consiste à remplacer l’ensemble des dents d’une arcade dentaire à l’aide de huit implants dentaires.

Dans ce protocole, huit implants sont positionnés stratégiquement dans l’arcade dentaire afin de fournir une base solide pour la fixation d’un bridge complet, qui est une prothèse dentaire fixe remplaçant toutes les dents de l’arcade.

L’approche « All-on-8 » offre de nombreux avantages, notamment une stabilité accrue de la prothèse dentaire, une meilleure répartition des forces de mastication et une restauration esthétique complète du sourire. Elle peut être une option appropriée pour les personnes souffrant de perte dentaire totale ou avancée et qui souhaitent retrouver une fonction masticatoire normale ainsi qu’un sourire esthétique.

Il convient de noter que la mise en œuvre de la technique « All-on-8 » nécessite une évaluation approfondie de chaque cas clinique, ainsi qu’une planification précise et une expertise chirurgicale pour obtenir des résultats optimaux. Une consultation avec un professionnel de l’implantologie dentaire est essentielle pour déterminer si cette approche convient à votre situation spécifique.

LA DEUXIÈME POSSIBILITÉ DE CONFIGURATION CLINIQUE DANS UNE INTERVENTION DE POSE D’IMPLANTS EN MCI

Dans le cas clinique suivants, un ou les deux sinus maxillaires sont trop pneumatisés et l’os alvéolaire molaire et prémolaire sous sinusien est trop résorbé pour la pose d’implants dans cette zone postérieure. 

 

MAIS la résorption du mur osseux antérieur n’est pas trop importante. Donc la pose d’implants dans la zone antérieure, uniquement, est possible.

Si la zone antérieure (incisives, des canines, des premières et deuxièmes prémolaires) n’est pas trop résorbée verticalement alors 6 à 8 implants peuvent être posés, en générale jusqu’au niveau des premières ou deuxièmes prémolaires :

 

Cette technique correspond dans notre classification au protocole« All on 6 » ou « All on 8 »

Dans cette configuration, un « bridge complet résilient de mise en charge immédiate des implants » sera vissé sur les implants quelques jours après la chirurgie implantaire.

 

Les particularités de ce RIFA bridge transvissé implanto-porté sont les suivantes dans ce cas de figure clinique :

 

L’armature métallique CFAO et son habillage cosmétique esthétique en verre acrylique présente souvent des prémolaires en extension  dans le « All on 6 » ou souvent des molaires en extension dans le « All on 8 » aux extrémités postérieures (droite et gauche). 

 

Ces extensions ne sont pas supportées par des implants:

Le bridge possède 10 à 12 dents supportées par 6 à 8 implants postérieurs AVEC deux extensions au niveau prémolaires et/ou molaires en porte à faux. C’est à dire non supportées par un implant.

 

C’est-à-dire que ce bridge sur implants inclut une double extension postérieure jusqu’à la première molaire droite et gauche au maximum. Il possède donc cinq à six dents à droite et gauche. 

 

Contrairement aux deux précédentes versions, celles-ci seront réalisées en extension aux extrémités du bridge SANS appui implantaire et donc avec un porte-à-faux. Ce porte-à-faux, s’il ne dépasse pas 12 mm, ne pose pas de problème.

En revanche, la capacité de mastication est plus réduite.

 

 

Quels sont les avantages de ces protocoles :

 

– Le « All on 8 » exonère définitivement de faire des greffes osseuses de comblement dans les sinus (sinus lift).

C’est le même protocole de pose d’implants en MCI que le bridge « All on 10 » de molaire à molaire, mais sans avoir à pratiquer une greffe osseuse de comblement de sinus à droite ou à gauche.

 

 Le « All on 6 » exonère temporairement de faire des greffes osseuses de comblement dans les sinus (sinus lift). 

Il permet une re-socialisation d’urgence du patient en une semaine par le remplacement de ses dents antérieures en attendant que des sinus lift soient nécessairement pratiqués. 

 

Une fois les masses osseuses des secteurs postérieurs reconstruites grâce aux sinus lift, la pose des implants dans ces secteurs postérieurs sera pratiquée.

 

Puis le bridge résilient sera rallongé dans les secteurs postérieurs avec la mise en charge des derniers implants postérieurs posés jusqu’aux molaires, pour revenir au concept du « All on 10 ».

 

 

La problématique de la résorption osseuse postérieur au maxillaire et de l’indication des greffes osseuses supplémentaires type "sinus lift"

1- Première variante:
le CHOIX du patient est de ne PAS faire de SINUS LIFT

L’INTERVENTION DE POSE D’UN BRIDGE IMPLANTO-PORTÉ EN MCI DANS LE CAS OÙ LA RÉSORPTION OSSEUSE VERTICALE ET HORIZONTALE DU MUR POSTÉRIEUR REND IMPOSSIBLE LA POSE D’IMPLANTS DANS CETTE ZONE.
MAIS LA RÉSORPTION ANTÉRIEURE N’EST PAS TROP IMPORTANTE ET PERMET LA POSE D’UN PREMIER BRIDGE EN MCI ANTÉRIEUR.

 

Dans ce cas, le patient décide de ne pas faire un bridge MCI définitif de plus grande étendu dans les secteurs postérieurs prémolaires ou molaires.

 

Nous recommandons de poser un bridge résilient MCI All on 6 ou All on 8 dans la zone antérieure avec des extensions prémolaires ou molaires aux extrémités postérieures.

 

 

Cette solution permet de resocialiser le patient immédiatement, en moins d’une semaine :

En effet, souvent le patient perd ses dents et/ou la prothèse antérieure supportée par des dents déchaussées et/ou infectées.

Il est donc urgent de remplacer ses dents antérieures pour des raisons esthétiques et de désocialisation en marge des problèmes de mastication et d’alimentation.

 

 

Si le patient est satisfait de cette solution le bridge MCI est posé et nous en restons là.

Sauf pour le remplacer éventuellement par un bridge avec une cosmétique en céramique.

Honoraires pour la MCI SANS sinus lift :

Pour réaliser les extractions ainsi que la pose des implants et la pose de l’appareil MCI du haut le protocole est exactement le même que précédemment.

Le forfait est décidé pour l’ensemble des interventions et la prothèse implanto-portée résiliente en mise en charge immédiate.

Cette somme n’inclue pas le bloc opératoire et l’anesthésiste.

Cette variante exonère des honoraires concernant les sinus lift préalables ainsi que ceux de l’anesthésiste et les éventuels frais de bloc opératoire pour ces interventions supplémentaires.

2- Deuxième variante :
LE CHOIX DU PATIENT EST DE FAIRE DES SINUS LIFT

L’INTERVENTION DE POSE D’UN BRIDGE IMPLANTO-PORTÉ EN MCI DANS LE CAS OÙ LA RÉSORPTION OSSEUSE VERTICALE ET HORIZONTALE DU MUR POSTÉRIEUR REND IMPOSSIBLE LA POSE D’IMPLANTS DANS CETTE ZONE.
MAIS LA RÉSORPTION ANTÉRIEURE N’EST PAS TROP IMPORTANTE ET PERMET LA POSE D’UN PREMIER BRIDGE EN MCI ANTÉRIEUR SELON LE PROTOCOLE « All on 8 » ou « All on 6 ».

 

Dans ce cas, le patient décide de faire un bridge MCI définitif de plus grande étendu dans les secteurs postérieurs prémolaires et molaires.

Nous recommandons de poser un bridge résilien MCI All on 6 ou All on 8 dans la zone antérieure avec des extensions prémolaires aux extrémités postérieures.

 

Cette solution permet de resocialiser le patient immédiatement, en moins d’une semaine :

En effet, souvent le patient perd ses dents et/ou la prothèse antérieure supportée par des dents déchaussées et/ou infectées.

Il est donc urgent de remplacer ses dents antérieures pour des raisons esthétiques et de désocialisation en marge des problèmes de mastication et d’alimentation.

 

 

La stratégie est la suivante Si le patient veut une solution le bridge MCI de grande étendue postérieure 

Après que ce premier bridge en MCI transvissé sur implants soit posé et durant la période d’ostéo-intégration des implants entre 4 et 6 mois, alors nous pouvons réaliser des greffes osseuses sous sinusiennes (sinus lift).

Le but est d’attendre tranquillement la cicatrisation des sinus lift. Puis de rajouter des implants postérieurs. 

Et ensuite, 4 mois plus tard, poser un bridge implanto-porté plus étendue postérieurement comme dans le premier cas de figure du All on 10

 

Dans ce cas, au moment de la mise en charge des implants, on pourra passer directement au bridge implantoporté avec un cosmétique en céramique décrit plus haut.

 

Le sinus lift concerne le remplacement des secteurs latéraux postérieurs gauche et droit : c’est-à-dire les prémolaires et les molaires à droite et/ou les prémolaires et les molaires à gauche.

Les honoraires pour des éventuels greffes de comblement osseux sinusien type sinus lift ne sont pas inclus dans le forfait opératoire MCI car c’est une intervention distincte et/ou prérequise à celle de la pose d’implants avec MCI.

C’est un forfait pour l’acte et toutes les consultations corollaires pour chaque côté (non remboursable en cas d’abandon du protocole de votre fait en cours de route).

Si l’état général du patient le permet nous pouvons pratiquer les interventions de sinus lift au sein du cabinet dentaire qui est équipé pour satisfaire aux exigences de sécurité et d’asepsie avec un médecin anesthésiste.

Il faudra répéter l’intervention de sinus lift pour les deux côtés si la résorption est bilatérale.
Il est possible mais délicat de faire les 2 côtés en même temps, surtout pour une personne âgée. 

Il faut en débattre avec l’anesthésiste. Mais in fine c’est le déroulement du cas clinique en per opératoire qui valide le choix.

 

 

Honoraires pour la MCI AVEC SINUS LIFT :

Pour réaliser les extractions ainsi que la pose des implants et la pose de l’appareil MCI du haut le protocole est exactement le même en haut et en bas.

Le montant du forfait MCI inclu l’ensemble des interventions et la prothèse résiliente en mise en charge immédiate.

Cette somme n’inclue pas le bloc opératoire et l’anesthésiste.

En revanche, les honoraires pour un éventuel le sinus lift ne sont pas non plus inclus dans le forfait opératoir MCI car ce sont des interventions distinctes et/ou prérequises à celle de la pose d’implants avec MCI.

Ces honoraires sont non remboursables une fois l’intervention pratiquée en cas d’abandon du protocole, de votre fait, en cours de route.

3- Troisième variante:
les GREFFES OSSEUSES et les implants zygomatiques

L’INTERVENTION POUR LA POSE D’UN BRIDGE IMPLANTO-PORTÉ EN MCI DANS LE CAS OÙ LES DEUX SINUS MAXILLAIRES SONT TROP PNEUMATISÉS ET L’OS ALVÉOLAIRE POSTÉRIEUR SOUS SINUSIEN TROP RÉSORBÉ POUR LA POSE D’IMPLANTS.
MAIS ÉGALEMENT LA RÉSORPTION DU MUR OSSEUX ANTÉRIEUR EST TROP IMPORTANTE POUR POUVOIR POSER DES IMPLANTS.

 

Ce cas de figure est le plus complexe car il est a priori impossible de poser des implants en MCI de prime abord.

 

Il faut préalablement à la pose des implants pratiquer des greffes osseuses. En particulier, des sinus lift et quelques fois pas uniquement, pour lever les impossibilités implantaires.

 

En fonction du résultat des greffes nous revenons aux situations des deux premiers cas de figure.

Dans ce cas, une liste des interventions nécessaires vous sera remise avec un devis correspondant.

 

Dans cette situation clinique, la question de l’indication des implants zygomatique se pose.

 

Voir ici les explications de ce protocole dans le chapitre correspondant : implants zygomatiques.

 

 

LE BRIDGE RÉSILIENT IMPLANTOPORTÉ EN MISE EN CHARGE IMMÉDIATE SUR LES IMPLANTS : LE PROTOPTYPE INDISPENSABLE

LE BRIDGE RÉSILIENT IMPLANTOPORTÉ SERA MIS EN CHARGE IMMÉDIATEMENT SUR LES IMPLANTS QUELQUES JOURS APRÈS LA CHIRURGIE IMPLANTAIRE

Nous appelons le bridge transvissé sur les implants : Le « bridge résilient de mise en charge immédiate des implants » (Resilient Implant-support Full Arch Bridge with Immediate Loading – RIFA Bridge with IL)   Il est dit « bridge de mise en charge et d’immobilisation des implants » car sa structure squelettique (armature ou poutre centrale) qui englobe toute l’arche implantaire est conçue et fabriquée avec l’aide de l’ordinateur (imprimante laser 3D pour métal) dans un alliage (titane ou chrome cobalt) suffisamment ductile pour absorber les chocs et suffisamment rigide sans se rompre pour qu’une fois vissé sur les implants, il garantisse leur immobilité avec une tolérance inférieure à 200 microns, afin d’éviter des micro-mouvements mortifères pour l’ostéo-intégration (cicatrisation de l’os sur les implants). Cette armature est habillée avec un cosmétique résilient grâce aux qualités physiques du matériau verre acrylique de la famille du PMAA, réalisée également grâce à la CFAO. De plus, le verre acrylique plus connue sous son nom commercial le « plexiglass » est trés esthétique et lumineux. Le PMMA assure une résilience à l’ensemble du bridge, en absorbant l’énergie des chocs de la mastication pour protéger les implants en cours de cicatrisation (ostéointégration).
  • Ce bridge résilient transvissé sur les implants solutionne le dilemme d’une mise en charge immédiate à la fois très rigide et « tendre ».
  • Ce bridge résilient protège les implants des micromouvements de plus de 200 microns et des chocs qui cause une désostéo-intégration et un échec de cicatrisation.
  • En même temps, ce bridge résilient assure une très jolie esthétique grâce aux qualités esthétiques du matériau verre acrylique.
  • Le bridge résilient sera transvissée à 2 à 7 jours post-opératoires : c’est le temps de réalisation par le laboratoire de prothèse d’un bridge sur mesure semi définitif.
  • Ce bridge résilient sera laissé en place pour une durée minimale de 6 à 12 mois de cicatrisation et de maturation des tissus durs (os alvéolaire maxillaire) et également mous (gencive et muqueuse buccale).
  • Ce bridge résilient est différent d’un « bridge provisoire » ou « transitoire » traditionnel en résine. En effet, sa structure squelettique est fabriquée exactement de la même façon qu’un bridge définitif en céramique. Cela n’est pas le cas des structures squelettiques des « bridges provisoires » traditionnels en résine ou même armées avec un arc métallique (soudées en per-opératoire).
  • Ce bridge résilient est différent d’un « bridge provisoire » ou « transitoire » réalisé en amont de la pose des implants à la suite d’une planification chirurgicale sur un logiciel de simulation implantaire type « All on 4 » ou « All on 6 ».
  • En effet, l’empreinte réalisée extemporanément durant l’intervention permet de fabriquer une exacte réplique de l’arcade dentaire et du sourire idéalement imaginé une fois la pose des implants réalisé. Ce protocole permet une adaptation du chirurgien à une complication chirurgicale découverte en per opératoire. Comme l’empreinte de positionnement des implants est effectuée en per opératoire il n’y pas de difficulté à adapter la structure squelettique du bridge résilient en MCI à toutes les configuration. Un protocole avec une technique de planification préopératoire et/ou de navigation implantaire est par nature figée et difficilement modifiable en cours d’intervention même si la situation clinique per opératoire le commande.
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Exemple de cas clinique avec ce patient équipé d’un bridge maxillaire prototype temporaire en mise en charge immédiate : Obtenez un nouveau sourire en une seule intervention d’implantologie avec la pose de bridges implant-portés en quelques jours seulement.

Nous utilisons des protocoles complexes combinant la mise en charge immédiate (MCI) et l’implantologie pré-implantaire classique pour des résultats optimaux. Notre protocole d’urgence consiste à poser des implants de première prémolaire à première prémolaire, connu sous le nom de « All on 6 » au maxillaire et « All on 6/4 » à la mandibule. Ces implants permettent la réalisation de deux bridges complets implanto-portés, offrant une solution minimale pour sauver les dents de première prémolaire à première prémolaire, avec des extensions pour remplacer les premières et/ou les deuxièmes prémolaires.

Veuillez noter que bien que nous présentions des résultats cliniques satisfaisants dans nos photos, ils ne garantissent pas des succès similaires pour votre situation clinique particulière. Chaque personne est unique et les cas cliniques sont spécifiques à chacun.

la navigation chirurgicale digitalisée avec le système ROBODENT
les techniques de planification préopératoire et de navigation implantaire
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APRÈS LA CICATRISATION des implants NOUS VOUS DONNONS DU TEMPS POUR REMPLACER LE BRIDGE RÉSILIENT PROTOTYPE PAR UN BRIDGE IMPLANTO-PORTÉ EN CÉRAMIQUE DÉFINITIF

Notre axe philosophique professionnel nous oblige à concevoir notre métier de la manière la plus déontologique et éthique possible : c’est pour cela que nous essayons de donner l’accès à notre protocole au plus grand nombre d’entre vous.

La réhabilitation complète de la dentition représente une étape significative, qui induit une transformation notable dans la vie des patients. Ce type de procédure est d’une importance capitale, prenant en compte des aspects multiples, à la fois physiques et émotionnels, ainsi que financiers. En effet, nombre de patients se trouvent en situation de difficulté, à la fois dentaire et financière.   Face à une telle situation, l’objectif thérapeutique vise à la reconstruction rapide de la dentition par la mise en place d’un bridge implantoporté en PMMA, en charge immédiate. Cependant, le coût financier associé à un bridge définitif est souvent un obstacle pour le patient, notamment dans un délai rapproché. Le protocole de mise en charge immédiate (MCI) a été conçu pour répondre à ces défis, permettant une intervention rapide et efficace, tout en assurant la pérennité du traitement. Il est reconnu que cette intervention peut être porteuse d’espoir pour les individus dont la situation dentaire est déjà critique ou en passe de le devenir. Néanmoins, il faut reconnaître que le coût d’une telle intervention peut constituer une barrière pour une grande partie de la population. Afin d’élargir l’accès à ce protocole, nous avons envisagé diverses solutions, dans l’objectif de répondre aux besoins médicaux d’un public en quête de solutions à ce type de problème. Il est indéniable que nous sommes confrontés à un dilemme : comment assurer l’accessibilité financière à un protocole sophistiqué et coûteux sans compromettre la qualité du soin ? Une bridge de qualité optimale sur les implants demeure une nécessité incontournable. Les techniques employées sont très sophistiquées et, de ce fait, coûteuses. De plus, la formation requise pour maîtriser tous les aspects techniques de ce protocole multidisciplinaire demande un investissement important en temps et en ressources.

Nous avons tenter d’apporter une solution à ce dilemme en divisant notre protocole de pose d’implant en MCI en deux grandes étapes :

Le protocole de mise en charge immédiate (MCI) pour la pose d’implants se divise en deux principales phases : En première intention, un bridge résilient implanto-porté est installé avec un revêtement en verre acrylique. En seconde intention, après une période de maturation tissulaire, un bridge avec un revêtement en céramique peut être posé.   Ce protocole offre une flexibilité au patient qui peut choisir d’optimiser la fonctionnalité et l’esthétique de son sourire avec un bridge définitif en céramique.   La procédure standard prévoit le remplacement du bridge résilient implanto-porté par un modèle identique avec un revêtement en céramique après une période de huit à douze mois. Le bridge définitif en céramique présente plusieurs avantages, notamment une meilleure esthétique, une plus grande biocompatibilité et une durabilité accrue. Une alternative consiste à conserver le bridge résilient implanto-porté avec son revêtement en verre acrylique pendant une durée prolongée, en fonction des conditions cliniques et des aléas éventuellement survenus pendant la phase de cicatrisation. Le recours à des technologies CFAO avancées et des matériaux innovants comme le verre acrylique permet la fabrication rapide d’un bridge résilient satisfaisant aux normes esthétiques et mécaniques. Après une période de cinq à six mois, les implants sont généralement ostéo-intégrés dans l’os maxillaire. Le bridge peut alors être dévissé et modifié ou amélioré au laboratoire de prothèse dentaire pour ajuster les paramètres occlusaux du patient et optimiser l’esthétique. La version définitive du bridge avec un revêtement céramique représente l’achèvement du protocole MCI. Une fois la maturation des tissus mous et durs autour du premier bridge résilient achevée, généralement au bout de dix mois, le bridge en céramique peut être posé. Ce dernier permet de corriger les éventuelles résorptions osseuses et d’affiner l’esthétique et la mastication. À la fin de cette période de six à douze mois, lorsque les implants sont pleinement ostéo-intégrés, ils sont aptes à supporter un bridge en céramique, matériaux non résilient et non ductile, offrant une esthétique et une mastication améliorées. Il convient de noter que le matériau céramique ne peut être utilisé en première intention, car il est potentiellement traumatisant pour les implants récemment posés et peut nuire à l’ostéo-intégration. Ce second bridge implanto-porté en céramique est fabriqué avec la même armature métallique CFAO, mais présente un revêtement en céramique stratifiée offrant une esthétique supérieure et une fonction de mastication améliorée.

Nous vous donnons du temps pour choisir d’optimiser votre sourire avec des techniques de plus en plus sophistiquées tant sur le plan esthétique que fonctionnel comme le bridge définitif en céramique

    • L’option de référence est d’opter pour un remplacement du bridge résilient implanto-porté par sa copie avec un cosmétique en céramique au bout de huit à douze mois de maturation tissulaire. Ce bridge définitif en céramique est plus esthétique, plus biocompatible et plus pérenne dans le temps
    • Une option alternative, en cas de difficultés ou de choix personnel, est de garder ce bridge résilient implantoporté avec son cosmétique en matériau verre acrylique encore plusieurs mois voir plusieurs années. Comme les matériaux utilisés pour la fabrication du bridge résilient implanto-porté sont de bonne qualité cette option est possible en théorie. Cette théorie devra être confronté aux exigences cliniques et aux problèmes ou aléas qui seront peut-être survenu pendant les temps de cicatrisation. Ce bridge résilient pourra être éventuellement rénovée, si besoin.
    Grâce à des nouvelles technologies CFAO et des nouveaux matériaux comme le verre acrylique notre laboratoire peut fabriquer en quelques jours un bridge résiliant de bon niveau à la fois mécanique et esthétique. Ce bridge implanto-porté avec un cosmétique en verre acrylique doit être nécessairement porté pendant plusieurs mois le temps de la phase cicatriciel des implants. Au bout de cinq à six mois les implants sont ostéointégrés dans l’os des maxillaires. Il peut être dévissé pour être apporté au laboratoire de prothèse dentaire afin d’y être modifié et corrigé en fonction des paramètres occlusaux du patient mais aussi amélioré esthétiquement. Bien évidemment, il peut être également rénové, réparé beaucoup plus facilement qu’une version céramique sil est conservé plus longtemps que nécessaire selon le souhait du patient. En générale, ce bridge est conservé tel quel au delà du temps nécessaire à la cicatisation pour des raisons essentiellement économiques.

    La version définitive du bridge, avec un cosmétique céramique, est l’aboutissement de notre protocole de pose d’implant en MCI

    La maturation des tissus mous et durs autour du premier bridge résilient s’achève au bout d’une dizaine de mois. C’est pourquoi le deuxième bridge implanto-porté en céramique permet de corriger les éventuelles résorptions osseuses dues à la maturation des tissus mous et durs pour une ESTHÉTIQUE et une MASTICATION encore plus affinée. Au bout de cette période de 6 à 12 mois les implants sont ostéo-intégrés. Il n’est plus obligatoire de mettre en charge les implants avec un bridge transvissé dit « résilient ». Les implants peuvent absorber l’énergie des chocs durs, générés par la morsure et la mastication sur la céramique qui est un matériau non résilient et non ductile. Arrivé à ce stade du protocole de mise en charge, il est donc possible de remplacer le bridge transvissé résilient par un autre bridge transvissé céramique beaucoup plus sophistiqué et exigeant en matière de morsure et d’esthétique. Le matériau cosmétique céramique ne peut pas être mis en charge sur les implants en première intention car il est beaucoup trop dur et traumatisant pour des implants qui viennent d’être posés. Il risque de désostéo-intégrer les implants. Ce deuxième bridge en céramique implanto-porté et transvissé est fabriqué avec le même type d’armature métallique CFAO. Mais, il possède une cosmétique en céramique stratifiée encore plus esthétique et plus coupante et broyante pour une meilleure mastication. Nous appelons ce bridge céramique de deuxième intention transvissé sur les implants : Le « bridge céramique de mise en charge définitive des implants »  (CIFA Bridge in IL: Ceramic implant-support Full Arch Bridge in Immediate Loading)   La céramique stratifiée permet un parfait mimétisme de l’esthétique du sourire, car ses qualités visuelles sont encore plus proches de celles des dents que le matériau verre acrylique. De plus, la dureté de la céramique permet une morsure et une mastication beaucoup plus efficace en particulier pour aliment fibreux comme la viande.

Les techniques de planification préopératoire implantaire ou la navigation per opératoire implantaire​

La technologie a ouvert de nouvelles possibilités pour la planification préopératoire et la mise en place des implants dentaires, comme les guides chirurgicaux digitalisés et les logiciels de planification.

Cependant, bien que ces technologies puissent offrir des avantages en termes de précision et de prévisibilité, elles ne remplacent pas l’expertise clinique et l’expérience du chirurgien.


Un des points forts de la chirurgie guidée par ordinateur est sa capacité à améliorer la précision de la position et de l’angulation des implants. Cela peut être particulièrement bénéfique dans les cas complexes, où l’anatomie du patient présente des défis particuliers.
Cependant, un des inconvénients de la chirurgie guidée est qu’elle peut ne pas permettre une adaptation en temps réel aux conditions rencontrées pendant l’opération.
Par exemple, des variations de l’os ou des tissus mous qui n’étaient pas apparentes sur l’imagerie préopératoire peuvent nécessiter des ajustements de la position de l’implant.
En fin de compte, le choix d’utiliser la chirurgie guidée ou non dépend de nombreux facteurs, notamment de la complexité du cas, de l’expérience et des préférences du chirurgien, et des attentes du patient.
L’important est d’avoir une planification approfondie, que ce soit à l’aide de la technologie ou non, et d’être préparé à s’adapter aux conditions rencontrées pendant l’opération.
Notre perspective met en évidence l’importance de la compétence et de l’expérience du chirurgien en plus de la technologie.