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L'IMPLANTOLOGIE en MISE EN CHARGE IMMÉDIATE et LES CHIRURGIES PRÉ-IMPLANTAIRES EN CASCADE : COMMENT REVENIR AU RESTITUTIO AD INTEGRUM

PROTOCOLES IMPLANTAIRES COMPLEXES EN CASCADE POUR UNE RECONSTRUCTION DU SOURIRE EN MCI : LE CAS D'UNE PATIENTE AVEC UN BRIDGE IMPLANTO-PORTÉ D'URGENCE "ALL ON 6" ET DES GREFFES OSSEUSES PRÉ-IMPLANTAIRES

 

Découvrez comment nous avons pu aider une patiente à retrouver son sourire grâce à un protocole implantaire complexe en cascade. Tout a commencé par la pose d'un bridge implanto-porté d'urgence "All on 6" en mise en charge immédiate, avec deux extensions minimales postérieures. Ensuite, nous avons réalisé une série de greffes osseuses pré-implantaires pour préparer le terrain en vue d'un bridge complet implanto-porté de molaire à molaire.

 

Nous vous invitons à découvrir ce cas clinique illustrant notre approche innovante et les résultats obtenus grâce à nos protocoles implantaires complexes.

LES CHIRURGIES IMPLANTAIREs EN CASCADE

C’est un protocole de pose d’implants en mise en charge immédiate de sauvetage de votre sourire et de votre mastication postérieure.

 

Le protocole complexe à la fois en MCI et en implantologie pré-implantaire s’étale sur plusieurs mois, avec une succession d’interventions pré-implantaires par des greffes osseuses et implantaires.

 

Lorsque le cas le permet, une première intervention de pose d’implants en MCI est, réalisée au départ de la cascade chirurgicale pour donner une solution rapide au problème de la disgrâce du sourire.

L’indication de la séquences des greffes osseuses est conditionnée par la quantité de résorption osseuse alvéolaire plus ou moins extreme au niveau des secteurs des prémolaires et des molaires.

 

Ce protocole de sauvetage de votre sourire, grâce à la pose d’implants au plus rapide (si l’indication est posée en fonction du cas clinique) est réalisé selon le schéma opératoire suivant :

 

– La pose le plus souvent de 6 implants, en remplacement, en urgence, des dents antérieures du maxillaire supérieur, des canines ou des premières prémolaires à droite jusqu’aux canines ou des premières prémolaires à gauches, afin de traiter la problématique du sourire ;

 

La pose de 6 implants à la mandibule est, en général, suffisante pour reconstruire l’arcade dentaire. Dans les cas d’extrême résorption de la crête osseuse alvéolaire, une version minimale de pose de quatre implants est adoptée ;

 

La fixation quelque jours plus tard, grâce à une Mise en Charge Immédiate des implants dentaires, d’un bridge esthétique implanto-porté AVEC deux extensions aux extrémités postérieures, pour remplacer les premières prémolaires ou au mieux les deuxièmes prémolaires.

 

Dans un cas de chirurgie bi-maxillaire, le remplacement des dents antérieures et postérieures de la mandibule est réalisé grâce à une Mise en Charge Immédiate de 6 implants dentaires par deux bridges implanto-portés transvissés.

 

C’est, en général, au maxillaire supérieur que les problèmes de résorption osseuse des régions postérieures sont les plus importants.

Au maxillaire supérieur (mais aussi à la mandibule) la prothèse supra-implantaire en MCI est soutenue par les implants de canine/prémolaire droite à canine/prémolaire gauche AVEC deux extensions postérieures au niveau des prémolaires.

L’ajout des extensions prémolaires, aux extrémités du bridge, permet un calage prémolaire minimal, même si ces dents ne sont pas soutenues par des piliers implantaires.

C’est notre solution « la plus extrême de sauvetage dans les situations cliniques désespérées ».

Ces situations cliniques graves, présentent de nombreuses contre-indications à la pose d’implants dentaires, en particulier en Mise en Charge Immédiate.

 

Les protocoles complexes hybrides à la fois en MCI et en implantologie pré-implantaire classique sont les plus complexes de nos protocoles, mais également le plus puissant en terme de reconstruction dentaire.

Il permet d’une part et dans un premier temps, d’opérer un sauvetage de votre sourire, grâce à la pose d’implants dans la partie antérieure des maxillaires, c’est à dire les dents du sourire.

Et d’autre part et dans une deuxième temps, grâce à une cascade d’interventions chirurgicales de reconstruction des crêtes osseuses alvéolaires des maxillaires, de lever la plupart des contre-indications à la pose des implants postérieures, afin d’opérer un sauvetage de votre mastication postérieure.

 

Dans cette configuration, il sera nécessaire de pratiquer une série de greffes osseuses pré-implantaires programmées sur plusieurs mois.

 

Les protocoles complexes hybrides à la fois en MCI et en implantologie pré-implantaire classique, sont indiqués en cas de gros délabrement de votre denture et de votre sourire et avec une trés forte résorption osseuse alvéolaire.

 

  • Le plus gros avantage des protocoles complexes hybrides à la fois en MCI et en implantologie pré-implantaire classique est une reconstruction globale immédiate et quasiment à l’identique de l’esthétique antérieure des arcades dentaires, en présence d’une situation désespérée qui nécessite l’extraction rapide de la totalité des dents résiduelles, sans avoir à pratiquer préalablement des greffes osseuses pré-implantaires de reconstruction des maxillaires et cela, même si la résorption osseuse postérieure est très importante. Mais, c’est possible uniquement dans les cas les plus favorables.
  •  Le chirurgien et le patient s’exonèrent de pratiquer des chirurgies pré-implantaires complexes PRÉALABLEMENT, comme des comblements de sinus (sinus lift). Mais, c’est possible uniquement dans les cas les plus favorables.
  • Le coût DE LA PREMIÈRE PHASE DE RECONSTRUCTION reste modéré. Il est identique à un bridge céramique complet implanto-porté en mise en charge immédiate, mais uniquement dans les cas les plus favorables.
  • Il restaure immédiatement une belle esthétique au niveau des dents du sourire, pour des patients exigeants. Mais uniquement avec un bridge temporaire résilient, pour un horizon à court terme de quelque mois. Il sera remplacé par un bridge définitif avec un cosmétique en céramique, le temps de faire toutes les interventions complémentaires de reconstruction des bases osseuses
  • Malgré le faible nombre d’implants, sa grande résistance mécanique fait qu’il convient à la moyenne des gabarits : des personnes âgées aux personnes actives et pour tous les types d’alimentation. Mais à condition d’avoir une alimentation molle et de prendre des précautions. L’horizon est à court terme, le temps de faire toutes les interventions complémentaires.
  • Le bridge implants-porté résilient post opératoire restaure une fonction esthétique et masticatrice minimale, mais aucun calage articulaire des ATM, ce qui peut générer des douleurs articulaires.
  • L’inconvénient majeur est d’avoir une arcade prothétique trés peu étendue en postérieur, dans les régions prémolaires et molaires masticatrices : la charge occlusale est ainsi déportée vers les dents de devant. Cela peut poser des problèmes de résistance mécanique du bridge et/ou des implants.
  • Même s’il restaure une belle esthétique au niveau des dents du sourire, c’est uniquement avec la version post opératoire du bridge implantoporté résilient et, donc pour un horizon à court terme, le temps d’enchainer sur les autres interventions complémentaires.
  • Meme si le coût DE LA PREMIÈRE PHASE DE RECONSTRUCTION reste modéré (Il est identique à un bridge céramique complet implanto-porté en mise en charge immédiate, qui nécessiterait des greffes osseuses et/ou des comblements de sinus) les honoraires pour réaliser l’ensemble du protocol (constitué de la cascade d’interventions de reconstruction des maxillaires pré-implantaires) s’additionnent pour donner un total important. 
  • Même s’il restaure une belle esthétique au niveau des dents du sourire, c’est  uniquement une reconstruction antérieure provisoire, pour un horizon à court terme. L’objectif est une reconstruction totale de l’arcade dentaire et la réalisation d’un bridge de molaire à molaire.
  • Les inconvénients mécaniques et les risques de fractures de pièces métalliques implantaires (ex: vis, implants, armatures) dans la version historique des All on 6/4, liés au relativement faible nombre d’implants dentaires (quatre à la mandibule et six au maxillaire) qui supportent un certain nombre de dents prothétiques en extension, redeviennent d’actualité. Il est important de reconstruire rapidement les secteurs postérieurs.
  • Les problèmes de la version historique « All on 6/4 » avec un bridge porté par des implants dentaires concentrés dans la zone antérieure des maxillaires, supérieure et inférieur, créant un porte-à-faux dû à la bascule antéro-postérieure, redeviennent d’actualité. Il est important de reconstruire rapidement les secteurs postérieurs.
  • Sa relativement faible résistance mécanique fait qu’il convient à des petits gabarits, des personnes âgées, des personnes peu actives et pour les types d’alimentation molle. Il est important de reconstruire rapidement les secteurs postérieurs.
  • Ce protocole ne convient pas pour de fort gabarit car il y a un risque accrue de fracture du bridge implanto-porté et/ou des implants. Dans ces cas cliniques, il est important de reconstruire rapidement les secteurs postérieurs.
  • Même si, en général, le chirurgien et le patient s’exonérent de pratiquer des chirurgies pré-implantaires complexes en prérequis de la première pose des implants, elles sont le plus souvent indispensables pour étendre l’occlusion molaire en postérieur. C’est le principe des chirurgies en cascades qui sont décrites dans notre protocole « DOMINO SURGERIES MCI ».
  • Même si les extensions prémolaires restaurent une fonction masticatrice minimale, elles sont le plus souvent insuffisantes et le calage articulaire des ATM est inefficace. Le protocole est accompli uniquement lorsque les premières molaires sont remplacées. En deça de cette limite, des chirurgies en cascades décrites dans les protocoles complexes hybrides à la fois en MCI et en implantologie pré-implantaire classique, seront nécessaires pour arriver à cet objectif.
  • Si le chirurgien et le patient s’exonérent de pratiquer des chirurgies pré-implantaires complexes, comme des comblements de sinus (sinus lift), les extensions prémolaires de premières intentions ne restaurent qu’une fonction masticatrice minimale et aucun calage articulaire valable des ATM.
  • Si le calage molaire est inexistant, des pathologies des articulations temporo-mandibulaires (ATM) peuvent survenir à moyen ou long terme. Par exemple, des douleurs ou craquements et/ou une mobilité des ménisques inter-articulaires peuvent être ressentie et/ou des acouphènes.
  • La calage molaire au niveau des extensions postérieures du bridge, même à minima, permet de protéger les articulations temporo-mandibulaires et d’éviter différentes pathologies comme des douleurs articulaires, des vertiges, des acouphènes etc.
  • L’absence de dents dans les secteur postérieures engendre, par nature, une mauvaise mastication, une sensation de « bouche vide » et des bourrages alimentaires aux extrémités en extensions du bridge implanto-porté.

Notre exemple de cas clinique avec cette patiente au stade initial : Obtenez un nouveau sourire en une seule intervention d’implantologie avec la pose de bridges implant-portés en seulement quelques jours.

 

Nous utilisons des protocoles complexes combinant la mise en charge immédiate (MCI) et l’implantologie pré-implantaire classique pour des résultats optimaux. Notre protocole d’urgence consiste à poser des implants de première prémolaire à première prémolaire, connu sous le nom de « All on 6 » au maxillaire et « All on 6/4 » à la mandibule. Ces implants permettent la réalisation de deux bridges complets implanto-portés, offrant une solution minimale pour sauver les dents de première prémolaire à première prémolaire, avec des extensions pour remplacer les premières et/ou les deuxièmes prémolaires.

 

Veuillez noter que bien que nous présentions des résultats cliniques satisfaisants dans nos photos, ceux-ci ne garantissent pas des succès similaires pour votre situation clinique particulière. Chaque personne est unique et les cas cliniques sont spécifiques à chacun

Notre patiente, après une première intervention de pose d’implants, bénéficie désormais d’un bridge partiel de première intention qui lui offre un tout nouveau sourire en seulement quelques jours. Ce bridge partiel sur implants est un prototype qui sera amélioré au fil du temps. Lorsque les greffes osseuses auront été réalisées et cicatrisées, des implants postérieurs seront ajoutés pour compléter le traitement. Cette étape de temporisation permet d’ajuster esthétiquement le visage et la dimension verticale de l’occlusion.

Nous utilisons des protocoles complexes combinant la mise en charge immédiate (MCI) et l’implantologie pré-implantaire classique. Notre protocole d’urgence consiste à poser des implants de première prémolaire à première prémolaire, connu sous le nom de « All on 6 » au maxillaire et « All on 6/4 » à la mandibule. Ces implants permettent la réalisation de deux bridges complets implanto-portés, offrant une solution minimale pour sauver les dents de première prémolaire à première prémolaire, avec des extensions pour remplacer les premières et/ou les deuxièmes prémolaires.

Veuillez noter que bien que nous présentions des résultats cliniques satisfaisants dans nos photos, ils ne garantissent pas des succès similaires pour votre situation clinique particulière. Chaque personne est unique et les cas cliniques sont spécifiques à chacun.

une cascade de chirurgies de reconstruction des maxillaires

Une solution pour la reconstruction complexe de votre sourire : les chirurgies pré-implantaires en cascade dans le protocole MCI.

 

Les protocoles complexes hybrides à la fois en MCI et en implantologie pré-implantaire classique sont constitués d’une série d’interventions chirurgicales qui se déclenchent en cascade, avec un effet domino, pour reconstruire les pièces osseuses maxillaires implantables, avec comme objectif d’aboutir à une reconstruction par un bridge implanto-porté le plus étendu possible vers les secteurs molaires. 

 

Notre protocole va mettre en place une cascade de chirurgies implantaires. Dans le meilleur des cas, elle commence par une resocialisation rapide du patient grâce à la pose de six implants antérieurs, en mise en charge immédiate, afin de reconstruire le sourire et une mastication minimale.

Puis une cascade de greffes préimplantaires sera programmée, pour permettre de contrôler les dommages que vos dents et votre sourire ont subi. Les interventions sont rapidement exécutées une par une, ou en plusieurs interventions compactées en « one shot », c’est à dire en un seul temps opératoire, en fonction des indications opératoires.

Mais ce processus est long : car à chaque étapes nous devons attendre la cicatrisation osseuse de quatre mois minimum, pour enchaîner les interventions suivantes qui s’emboitent les une dans les autres, comme des dominos qui se bousculent.

Cette première intervention de pose d’implants en MCI ne concerne que le secteur antérieur, dans cette configuration clinique de fortes résorptions des secteurs postérieurs. 

Le bridge implanto-porté en MCI nécessite donc deux extensions postérieures prémolaires pour compléter l’arcade dentaire à minima. Ces dernières permettent une dispersion minimale des forces de mastication, grâce à la pose d’un nombre faible d’implants, mais optimum en tenant compte de la quantité d’os disponible, malgré la grosse résorption osseuse.

 

Dans le protocole de chirurgie en cascade, le premier temps opératoire, ne permet pas une parfaite reconstruction immédiate de vos arcades dentaires.

Mais, c’est une première solution rapide et trés efficace pour vous faire retrouver votre sourire dans l’urgence d’une désocialisation, conséquence de la perte inéluctable de vos dents, associée à une grosse résorption osseuse postérieures des maxillaires, en particulier le supérieur.

Il faudra attendre la fin de la séquence chirurgicale en cascade pour espérer retrouver une reconstitution de votre sourire et de votre mastication « ad integrum », par un bridge imlanto-porté le plus étendu possible vers les secteurs molaires.

 

Dans la première intervention de pose d’implants en MCI , nous arrivons, malgré la résorption osseuse postérieure maxillaire (en particulier supérieure) à poser 6 implants au maxillaire supérieur dans la partie antérieure.

C’est-à-dire 3 implants symétriques de chaque côté de la ligne sagitale médiane : ALL on 6.

 

La particularité de cette technique est que : le bridge implanto-porté, en mise en charge immédiate sur les implants posés, supporte une première prémolaire en extension, de chaque côté et à ses extrémités postérieures.

 

Les cas cliniques qui indiquent les protocoles complexes en MCI appartiennent aux cas défavorables pour faire des MCI avec des bridges implants-portés de grande étendue:

Les protocoles complexes hybrides à la fois en MCI et en implantologie pré-implantaire classique permettent un sauvetage des patients ayant un édentement terminal et une forte résorption osseuse postérieure.

Pour autant, il est nécessaire de disposer d’un volume osseux disponible implantable antérieure suffisant qui permet de poser six implants au maxillaire (trois implants à gauche et trois à droite). 

 

Les cas cliniques trés défavorables de résorption terminale, peuvent poser l’indication de la solution de secours ultime : la pose d’implants zygomatiques.

 

Les indications des protocoles complexes hybrides à la fois en MCI et en implantologie pré-implantaire classique sont les suivantes :

– Des dimensions du volume osseux antérieur des maxillaires disponibles, nécessaires et suffisantes, pour une pose d’implants en All on 6/6 ou 4 dans la région des dents du sourire;

– Associées à une résorption importante de l’os alvéolaire postérieur, au delà des régions des canines, prémolaires et molaires ;

– Une résorption de l’os alvéolaire des régions prémolaires et molaires interdisant une solution par un bridge implanto-porté le plus étendu possible vers les secteurs molaires.

 

En conséquence, il y a toujours une dent terminale postérieure en extension: la première prémolaire.

Cette configuration indique les protocoles complexes hybrides à la fois en MCI et en implantologie pré-implantaire classique. C’est une solution de sauvetage immédiat MAIS partielle dans une situation d’édentement à l’extrême limite du confort de mastication. C’est la pose des implants antérieurs en MCI dans des cas cliniques trés défavorables, interdisant la solution par un bridge implanto-porté le plus étendu possible vers les secteurs molaires.

 

La pose des implants, en ALL on 6, seule ne peut pas être une solution définitive, car uniquement les premières prémolaires sont remplacées et le patient n’a pas de confort de mastication, ni de calage articulaire.

De plus, seul un petit gabarit peut se satisfaire d’aussi peu d’implants concentrés dans le secteur antérieur.

 

Mais, la première phase opératoire des protocoles complexes hybrides à la fois en MCI et en implantologie pré-implantaire classique peut être une solution d’attente confortable avant de tenter de se rapprocher d’un bridge implants-porté de grande étendue grâce à une série de greffes pré-implantaires.

 

La première phase opératoire des protocoles complexes hybrides à la fois en MCI et en implantologie pré-implantaire classique permet une reconstruction immédiate de toute l’arcade antérieure. 

Seul le calage de la morsure que l’on appelle « l’occlusion molaire » est inexistant et seul un calage prémolaire à minima est reconstruit. L’occlusion molaire permet de bloquer la morsure en position articulaire reculée (relation centrée) et protéger l’articulation temporo-mandibulaire ou ATM.

 

La première étape des protocoles complexes hybrides à la fois en MCI et en implantologie pré-implantaire classique est uniquement une solution de sauvetage immédiat de votre sourire. Mais, à minima de l’esthétique et certainement pas de votre mastication. 

En revanche grâce aux cascades d’interventions de reconstruction des maxillaires, le patient pourra se retrouver dans une situation favorable correspondant à un bridge implanto-porté le plus étendu possible vers les secteurs molaires.

 

Cette technique permet le remplacement en urgence des dents antérieures du maxillaire :

Grâce à une Mise en Charge Immédiate de 6 implants dentaires, par un bridge esthétique implanto-porté soutenu de canines ou premières prémolaires droites à leurs controlatérales à gauche, avec des extensions postérieures remplaçant : 

  • Les premières prémolaires au pire ;
  • Les deuxièmes prémolaires au mieux.
 
 

Dans le cas d’une MCI mandibulaire : 

Le remplacement de toutes les dents du maxillaire inférieur par des implants est réalisé grâce à la pose de 6 implants dentaires. 

Cette situation suffit en général pour reconstruire l’arcade en MCI.

Seul la possibilité de ne poser que 4 implants antérieurs rend la situation trés complexe.

Leur Mise en Charge Immédiate est effectuée par une prothèse implanto-portée soutenue de prémolaire droite à prémolaire gauche, avec deux extensions postérieures prémolaires.

L’ajout des extensions prémolaires aux extrémités du bridge permet un calage prémolaire même si ces dents ne sont pas soutenues par des piliers implantaires.

 

 

l'obJectif thérapeutique est D'ALLONGER LE BRIDGE MCI POUR REMPLACER LES MOLAIRES

Les protocoles complexes hybrides à la fois en MCI et en implantologie pré-implantaire classique correspondent à une cascade d’interventions chirurgicales pré-implantaires nécessaires pour permettre la pose d’implants en MCI, malgré une déstructuration quasi totale des bases osseuses maxillaires qui rend inexécutable une mise en charge immédiate des implants dentaires, globale et de prime abord, pour l’ensemble de la denture de l’arcade maxillaire.

 

Les greffes osseuses pré-implantaires : les prérequis indispensables à la pose d’implants dentaires dans les secteurs postérieurs des maxillaires. L’importance capitale de la greffe osseuse de comblement du bas fond sinusien appelé « Sinus Lift » dans le protocole de pose d’un bridge implanto-porté le plus étendu possible vers les secteurs molaires, au maxillaire.

 

Certains cas cliniques implantaires sont désespérés. En particulier, à cause de la résorption osseuse post extractionnelle des dents naturelles qui entraîne une atrophie des bases osseuses maxillaires et donc, contre-indique la pose des implants. 

 

Les cas cliniques comportant des déstructurations complexes de l’os alvéolaire sont très difficiles à résoudre. La pose d’implants dentaires est réputée infaisable de prime abord et encore moins en mise en charge immédiate.

Dans cette situation, l’implantologue est obligé de pratiquer une cascade d’interventions chirurgicales pré-implantaires. 

C’est-à-dire, la réalisation d’une succession de gestes chirurgicaux opératoires, en particulier des greffes osseuses, en un seul, ou plusieurs temps opératoires. Toutes les interventions chirurgicales ou gestes opératoires se succèdent dans un ordre logique. C’est-à-dire qu’une intervention, ou un geste opératoire va rendre possible une autre intervention. Et ainsi de suite, jusqu’à arriver à une situation suffisamment favorable pour permettre la pose des implants en MCI.

C’est cet « effet domino » des interventions chirurgicales que nous appelons le protocole de chirurgies complexes hybrides à la fois en MCI et en implantologie pré-implantaire classique, qui permet de compenser la perte de substance osseuse et reconstruire les volumes osseux perdus aux maxillaires. Cette perte de volume osseux est la conséquence de la résorption physiologique de l’os, à la suite des extractions dentaires.

 

Ces reconstructions osseuses sont le prérequis nécessaires et suffisants à la pose des implants et la fixation d’un bridge complet implanto-porté en mise en charge immédiate: 

Dans les protocoles complexes hybrides, à la fois en MCI et en implantologie pré-implantaire classique, nous pratiquons très fréquemment des greffes osseuses. 

Les greffons proviennent soit de donneurs humains, qu’on appelle des « Greffons Osseux Allogéniques », soit de donneurs du monde animal, en particulier des mammifères comme le cheval, la vache ou le cochon, et nous parlons alors de « Greffons Osseux Xénogéniques ».


Bien évidemment en implantologie, les prélèvements sur les donneurs sont très antérieurs à la chirurgie de greffes osseuses. Ils sont conditionnés comme des produits pharmaceutiques. 

La seule exception d’un transplant osseux extemporané est lorsque le « donneur » et le « receveur » sont la même personne. On parle « d’Autogreffe osseuse ».


En conséquence, les protocoles complexes hybrides à la fois en MCI et en implantologie pré-implantaire classique sont composés d’une cascade d’interventions chirurgicales, en particulier des greffes osseuses et/ou gingivales afin de reconstruire le site receveur des implants par des greffes allogéniques et/ou xénogéniques. 

 

Ces greffons, dans nos protocoles, sont tous systématiquement enrichis en facteurs de croissance autologues :

Ces derniers sont contenus, en concentration supra physiologique, dans les concentrés plaquettaires, sous la forme de membranes de aPRF et/ou de iPRF injectable ou bien le PRP qui contient un adjuvant anticoagulant. 

Le prélèvement sanguin veineux, prérequis du protocole de dentisterie régénérative, s’appelle une « phlébotomie ». 

Il s’agit donc dans le principe d’une autogreffe sanguine.

L’éventail des situations possibles recense trois cas de figure principaux :


1/ Soit le site receveur osseux est totalement résorbé et atrophié suite à la résorption osseuse post-extractionnelle. 

Dans ce premier cas de figure, la reconstruction doit se faire bien en amont de la pose des implants. 

Les chirurgies pré-implantaires de reconstruction des bases osseuses par des greffes osseuses sont le prérequis de la pose d’implants.

Dans le cas de figure où aucune greffe osseuse de reconstruction du maxillaire supérieur n’est réalisable ou raisonnable, la seule option alternative en implantologie est :

LA POSE D’IMPLANTS ZYGOMATIQUES cliquez ici pour en savoir plus

(au maxillaire uniquement par définition) 

 

 

2/ Soit, à contrario, le site receveur osseux n’est pas totalement atrophié suite à la résorption osseuse post-extractionnelle.

Dans ce deuxième cas de figure, les greffes osseuses d’apposition sont réalisées en même temps que la pose des implants.



3/ Le troisième cas de figure est un mélange des deux premières situations possibles

Dans certains cas, il est nécessaire de pratiquer des interventions pré-implantaires en amont de la chirurgie de pose d’implants en MCI, pour restructurer le site osseux implantable.

Dans d’autres cas cliniques, la pose des implants dans le secteur antérieur (qui est, en général, le moins résorbé) est possible. Cela permet de restructurer l’arcade dentaire au niveau des dents du sourire immédiatement. Puis des greffes osseuses seront programmées pour reconstruire les secteurs osseux postérieurs résorbé, suite aux extractions dentaires anciennse au récentes. 

Pour autant, au cours de la pose des implants, il sera nécessaire de pratiquer, systématiquement, des greffes osseuses d’apposition, autour des implants, pour augmenter le volume osseux dans des proportions supra anatomiques. 

En effet, suite à l’intervention de pose des implants, il est systématique d’observer une résorption osseuse généralisée dans les mois ou les années suivantes. C’est pour cela qu’une greffe osseuse périphérique d’apposition sur toute la surface de l’arc du maxillaire est réalisée afin d’anticiper cette résorption osseuse. 


Dans cette dernière situation, la reconstruction du site receveur osseux est effectuée en même temps que la pose des implants. 

C’est-à-dire que les greffes osseuses sont réalisées extemporanément à la pose des implants. 

En règle générale, les greffes osseuses permettent d’enfouir les implants plus profondément et de les emballer dans un volume suffisant pour optimiser la pérennité dans le temps.


Dans ces protocoles de greffes pré-implantaires l’adjonction des concentrés sanguins plaquettaires autologues réalisés extemporanément pendant l’intervention chirurgicale de pose d’implan en MCI est décisive. C’est l’apport de facteurs de croissance tissulaire en concentration supra physiologiques qui permet de rendre viable les greffons osseux et la cicatrisation des implants avec un minimum de résorption osseuse.


Il faut comprendre qu’au cours de la vie la résorption osseuse de tout le squelette en général est inéluctable : ce phénomène fait partie du processus normal de vieillissement. 

Il est donc important d’anticiper ce phénomène physiologique en effectuant une surcompensation par une greffe osseuse périphérique autour des implants.


Le but est de conserver un volume osseux nécessaire et suffisant pour emballer les implants dans une gangue d’os alvéolaire aux maxillaires.

 

Toujours la même patiente sujet de notre exemple de cas clinique en cascade, cette fois-ci au contrôle radiographique post opératoire après une première intervention de pose d’implants, bénéficie désormais d’un bridge partiel de première intention qui lui offre un tout nouveau sourire en seulement quelques jours. Ce bridge partiel sur implants est un prototype qui sera amélioré au fil du temps. Lorsque les greffes osseuses auront été réalisées et cicatrisées, des implants postérieurs seront ajoutés pour compléter le traitement. Cette étape de temporisation permet d’ajuster esthétiquement le visage et la dimension verticale de l’occlusion.

Nous utilisons des protocoles complexes combinant la mise en charge immédiate (MCI) et l’implantologie pré-implantaire classique. Notre protocole d’urgence consiste à poser des implants de première prémolaire à première prémolaire, connu sous le nom de « All on 6 » au maxillaire et « All on 6/4 » à la mandibule. Ces implants permettent la réalisation de deux bridges complets implanto-portés, offrant une solution minimale pour sauver les dents de première prémolaire à première prémolaire, avec des extensions pour remplacer les premières et/ou les deuxièmes prémolaires.

Veuillez noter que bien que nous présentions des résultats cliniques satisfaisants dans nos photos, ils ne garantissent pas des succès similaires pour votre situation clinique particulière. Chaque personne est unique et les cas cliniques sont spécifiques à chacun.

LE SAUVETAGE DES cas clinique lors DE FORTEs RÉSORPTIONs OSSEUSEs DES MAXILLAIRES
ET LEUR RECONsTRUCTION grace Des chirurgies et prothèses implanto-portées en cascade

QUELS SONT LES INGRÉDIENTS PRINCIPAUX DES CHIRURGIES IMPLANTAIRES MCI EN CASCADE "?

Voici la recette pour les protocoles complexes hybrides à la fois en MCI et en implantologie pré-implantaire classique: La solution de sauvetage pour rendre possible une réhabilitation totale de votre sourire, réputée inimplantable par manque de volume osseux receveur des implants dentaires. 

 

LA POSE DE 6 IMPLANTS DENTAIRES MAXIMUM PAR ARCADE, EN REMPLACEMENT DES DENTS DU SOURIRE, DANS URGENCE DU SAUVETAGE ET EN ATTENTE D’UNE RECONSTRUCTION GLOBALE DEFINITIVE.

  • LES GREFFES OSSEUSES DE COMBLEMENTS DE SINUS OU SINUS LIFT AU MAXILLAIRE SUPERIEURE. 
  • LES GREFFES OSSEUSES 3D D’AUGMENATTION VERTICALES À LA MANDIBULE. 
  • L’APPORT D’UNE TRAME COLLAGÉNIQUE GRÂCE AUX GREFFES OSSEUSES D’APPOSITION ALLOGÈNES ET XÉNOGÈNES.
  • APPORT DES FACTEURS DE CROISSANCES TISSULAIRES CONTENUS DANS LES PRF.
  • POSE DES IMPLANTS ET GREFFES OSSEUSES RÉALISÉE EN UN TEMPS OPÉRATOIRE SOUS SÉDATION.

Une fois les volumes osseux reconstitués grâce aux protocoles opératoires complexes hybrides à la fois en MCI et en implantologie pré-implantaire classique, la pose des implants peut être réalisée avec la de pose d’un bridge implanto-porté le plus étendu possible vers les secteurs molaires, au maxillaire.

Le film de l'intervention la plus importante au maxillaire:
le "sinus lift"
L'IMPLANTOLOGIE HYBRIDE MCI /CLASSIQUE
Le sinus lift et la phlébotomie pour enrichir de facteurs de croisssance tissulaires le greffon allogénique.
Lire la vidéo

le sinus lift au maxillaire POUR LEVER LES CONTRE-INDICATIONS À LA POSE DES IMPLANTS MOLAIRES

Cette greffe osseuse intra sinusienne consiste à relever le niveau du plancher osseux du sinus, de quelques millimètres à une quinzaine de millimètres.

Cette élévation du plancher du sinus est obtenue en comblant partiellement le bas fond de la cavité sinusale. Un greffon osseux est inséré entre la corticale inférieure du sinus (bas fond) au dessus de l’os basal du maxillaire et la membrane muqueuse qui revêt la paroi interne de cette même corticale. Cette membrane muqueuse recouvre toutes les cloisons du sinus et forme la « membrane de Schneider ». Elle est aussi fragile qu’un “papier toilette mouillée”. Il est donc très difficile de la relever sans la perforer. La perforation de cette membrane est l’aléas principale de cette intervention. C’est pourtant la phase principale de l’intervention du sinus lift.

Il existe deux voies d’abord pour accéder au sinus maxillaire:

  • La voie crestale sur le sommet de la crête osseuse alvéolaire. Cette technique décrite par le docteur Summers et qui porte son nom est réservé à des cas simples d’augmentation osseuse.
  • La voie latérale par une ouverture de la cloison osseuse du sinus au pied de l’os zygomatique (os malaire ou os de la pommette) a été décrite par les docteurs Caldwell et Luc et porte leurs noms. Elle est la plus couramment indiquée pour les greffes osseuses de grandes étendues. Il est préférable de pratiquer ce type de greffe osseuse intra sinusienne dans un espace chirurgical dédié, ou mieux un bloc opératoire chirurgical en clinique.
 

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Nous vous présentons le résultat radiologique post opératoire d’un exemple de cas clinique qui nécessitait des chirurgies de reconstruction préimplantaires et implantaires en cascade.

Dans ce cas, des greffes de reconstruction du maxillaire ont été réalisées, comprenant des greffes d’aposition osseuse pour la reconstruction des maxillaires, ainsi que deux soulèvements de sinus (sinus lift). Le patient était totalement édenté au niveau du maxillaire, et les dents résiduelles de la mandibule ont été extraites lors de la pose des implants.

 

 

Ce cas clinique est également le sujet d’un film sur la Mise en Charge Immédiate (MCI) présenté sur notre site. Suite à la première intervention de pose d’implants, notre patiente bénéficie désormais d’un bridge partiel de première intention, qui lui offre un tout nouveau sourire en seulement quelques jours. Ce bridge partiel sur implants est un prototype qui sera amélioré progressivement au fil du temps. Une fois que les greffes osseuses auront été réalisées et cicatrisées, des implants postérieurs seront ajoutés pour compléter le traitement. Cette phase de temporisation nous permet d’ajuster esthétiquement le visage et la dimension verticale de l’occlusion.

 

 

Nous utilisons des protocoles complexes qui combinent la mise en charge immédiate (MCI) et l’implantologie pré-implantaire classique. Notre approche d’urgence consiste à poser des implants de première prémolaire à première prémolaire, connu sous le nom de « All on 10 » au maxillaire et « All on 8 » à la mandibule. Ces implants permettent la réalisation de deux bridges complets implanto-portés, offrant une solution minimale pour sauver les dents de première prémolaire à première prémolaire, avec des extensions pour remplacer les premières et/ou les deuxièmes prémolaires.

 

 

Nous tenons à souligner que les résultats cliniques satisfaisants présentés dans nos photos ne garantissent pas des succès similaires dans votre propre situation clinique. Chaque personne est unique, et les cas cliniques sont spécifiques à chaque individu. Nous vous invitons à consulter notre équipe pour une évaluation personnalisée de votre cas.

Nous vous présentons ici le résultat clinique à un an postopératoire de notre exemple de cas clinique précédent, qui a bénéficié de chirurgies de reconstruction pré-implantaires et implantaires en cascade.

 

Ce patient porte ses deux bridges implanto-portés définitifs en céramique, réalisés à la fois au niveau du maxillaire et de la mandibule.

 

Dans ce cas, des greffes de reconstruction du maxillaire ont été effectuées, comprenant des greffes d’aposition osseuse pour reconstruire les maxillaires, ainsi que deux soulèvements de sinus (sinus lift). Le patient était complètement édenté au niveau du maxillaire, et les dents résiduelles de la mandibule ont été extraites lors de la pose des implants.

 

Ce cas clinique a également été documenté dans notre film sur la Mise en Charge Immédiate (MCI), disponible sur notre site. Après la première intervention de pose d’implants, notre patiente a pu bénéficier d’un bridge partiel de première intention, lui offrant un tout nouveau sourire en seulement quelques jours. Ce bridge partiel sur implants est un prototype qui a été progressivement amélioré au fil du temps. Une fois que les greffes osseuses ont été réalisées et cicatrisées, des implants postérieurs ont été ajoutés pour compléter le traitement. Cette phase de temporisation nous a permis d’ajuster esthétiquement le visage et la dimension verticale de l’occlusion.

 

Nous utilisons des protocoles complexes qui combinent la mise en charge immédiate (MCI) et l’implantologie pré-implantaire classique. Notre approche d’urgence consiste à poser des implants de première prémolaire à première prémolaire, connu sous le nom de « All on 10 » au maxillaire et « All on 8 » à la mandibule. Ces implants permettent la réalisation de deux bridges complets implanto-portés, offrant une solution minimale pour sauver les dents de première prémolaire à première prémolaire, avec des extensions pour remplacer les premières et/ou les deuxièmes prémolaires.

 

Nous tenons à souligner que les résultats cliniques satisfaisants présentés dans nos photos ne garantissent pas des succès similaires dans votre propre situation clinique. Chaque personne est unique, et les cas cliniques sont spécifiques à chaque individu. Nous vous invitons à consulter notre équipe pour une évaluation personnalisée de votre cas.

La greffe osseuse pré-implantaire d'augmentation verticale mandibulaire ou maxillaire en MCI.

A la mâchoire supérieure:

Suite à une résorption verticale de l’os alvéolaire postérieur de la mâchoire supérieure, la greffe osseuse de compensation du manque de hauteur d’os alvéolaire implantaire de référence est la technique de comblement des sinus ou sinus lift (élévation du plancher du sinus).

Ce protocole est indiqué dans les cas d’insuffisance osseuse en hauteur dans les zones postérieures du maxillaire supérieur sous le sinus.

La cavité aérienne que forme le sinus augmente de volume, par un phénomène de pneumatisation, lorsqu’une ou plusieurs molaires sont extraites et quelque fois les prémolaires. Le sinus gagne de la place au détriment de l’os alvéolaire disponible pour poser des implants, suite à la perte de ces dents. La partie basse du volume de la cavité aérienne du sinus doit être comblée avec un greffon osseux pour restaurer le volume d’os alvéolaire implantaire.

Ce protocole est choisi lorsque la hauteur résiduelle située sous le sinus ne dépasse pas 6 millimètres.

Dans certain cas de grosse résorption verticale la technique du sinus lift peut être associée à la technique de greffe d’apposition avec une matrice transvissée ou ROG (régénération osseuse guidée).

 

A la mâchoire inférieure :

Suite à une résorption verticale de l’os alvéolaire postérieur de la mâchoire inférieure, la greffe osseuse de compensation du manque de hauteur d’os alvéolaire implantaire de référence est la technique de greffe d’apposition avec une matrice transvissée ou ROG (régénération osseuse guidée). 

Une matrice métallique définie le volume osseux qui sera reconstruit. Cette délimitation du volume osseux a régénérer est réalisé soit par des vis d’ostéosynthèse, soit par une grille en titane fixée par ces même vis.

Ce dôme métallique ainsi délimité soulage le greffon osseux de la pression des tissus mous sus-jacent afin de limiter la résorption du greffon, induite par cette pression pendant la cicatrisation.

Ce protocole est indiqué dans les cas d’insuffisance osseuse en hauteur dans les zones postérieures du maxillaire inférieur.

Ce protocole est choisi lorsque la hauteur résiduelle située au-dessus du nerf alvéolaire inférieur ne dépasse pas 6 millimètres.