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Cas cliniques de patients atteints de stomatophobie

Cas cliniques de la « peur du dentiste » et des protocoles de soins dentaires sous sédation

délabrement des dents

“J’ai peur du dentiste !” Les cas cliniques de patients ayant enfin pu se faire soigner leurs dents grâce à la sédation dentaire par sédation semi-inconsciente (diazanalgésie) au cabinet dentaire.

« Je souffrais de phobie du dentiste et aucun dentiste ne pouvait m’aider car j’étais ingérable sur un fauteuil dentaire ».

Voici la triste réalité de tous ces personnes anonymes qui souffrent de dentophobie et pour qui les douleurs, l’associalisation, l’isolement et la dépression sont les tourments ordinaires. Les cas cliniques ici présent sont indispensables pour démontrer à tous ceux qui sont dans cette situation désespérée que se faire soigner grâce aux plateaux techniques modernes de soins dentaires sous sédation est possible.


Cas cliniques de patients souffrant de la peur du dentiste

Comment faire de lourds soins dentaires sous sédation?

Les personnes qui se sentent concernés par ce grave problème de stomatophobie peuvent consulter des témoignages de patients atteints de cette phobie du dentiste. Nous espérons que cette lecture les réconfortera et les aidera à surmonter leur peur du dentiste afin de franchir le pas pour nous consulter.

Le cas clinique de Franck, 55 ans, chauffeur routier, ayant une stomatophobie

chirurgie préimplantaire et chirurgie implantaire
Chirurgies préimplantaires et chirurgies implantaires : greffes osseuses allogènes et pose d’implants dentaires pour des patients ayant la phobie des soins dentaires

Monsieur « Franck » est un patient typique des phobiques du dentiste du genre masculin:

Chauffeur routier, il a une profession et un physique qui indubitablement le classe dans la catégorie des hommes virils. Pour autant, ce qui pourait être un compliment s’avère être un handicape car son statut « d’homme viril » s’accommode mal avec la peur d’aller chez le dentiste. Sa peur, se traduit par des étouffements et des réflexes nauséeux qui sont typiques de la forme masculine de la peur du dentiste. Cette façon d’exprimer sa peur est une manière décalée et plus masculine que les « crises de nerfs » mais tout aussi handicapante pour se faire soigner. Enfermé dans sa peur et un rupture de soins dentaire par lassitude de se heurter à des échecs, ce patient grâce à internet a trouvé le moyen de se faire soigner pour des actes complexes tant prothétique que chirurgicaux.

Associalisé, isolé, enfermé dans sa gêne de se montrer aux autres, il s’est abruti de travail et avait abandonné toutes chances de reprendre le cour normal de sa vie tant amicale qu’affective.

Les soins sous sédation ont permis à cette personne de retrouver une denture normale. Et plus encore grâce à un travail de smile design, il a retrouvé un sourire et le sourire. Le rire tonitruant de ce patient charmant et bon vivant, est pour le « smile designer » le plus beau des compliments.


Cas clinique de Paul, sexagénaire, peur bleue du dentiste

Ce patient d’une soixantaine d’années est venu consulter à mon cabinet en affirmant sa volonté de se faire refaire toutes les dents puisqu’il était défiguré et asocialisé par un sourire totalement délabré.
Son désir fort était contrarié par une semi-hémiplégie suite à un AVC qui l’invalidait.
Son AVC a été une des raisons d’un « laisser-aller » dentaire et il souhaitait reprendre le dessus. Nous avons relevé le défi ensemble.

Un plan de traitement global a été construit et a pu être réalisé grâce à des séances sous anesthésie générale en clinique pour la partie chirurgicale lourde.

Le temps étant un facteur important pour ce patient en terme de déplacement (province) et fatigue (invalidité), les techniques chirurgicale, et prothétiques utilisées ont été compactées au maximum.
C’est ainsi que le choix de réaliser toutes les interventions en un seul temps chirurgical au bloc opératoire en clinique a été pris.


Cas clinique de Jean, « sexta », phobie du dentiste

Voici, la présentation du cas clinique de Jean, souffrant de stomatophobie, partiellement édenté avec de vieilles couronnes céramiques ou bridges à refaire:

Ce cas illustre les protocoles de greffes osseuses autogènes pré-implantaires de pose d’implants dentaires tout en faisant intervenir les disciplines d’esthétique du sourire pour résoudre un cas d’édentation partiel. Ce cas est réalisé par le docteur Jérôme Weinman, partiellement sous sédation dentaire semi consciente ou au bloc opératoire sous anesthésie générale en clinique. La greffe osseuse pariétale a été réalisée par le Docteur Dominique Deffrennes chirurgien maxillo-facial à Paris à la clinique Turin.

Chez un patient phobique du dentiste, exemple de reconstruction du sourire et du visage grâce à des protocoles chirurgicaux et prothétiques complexes.

Plus précisément : Reconstruction des maxillaires par greffes osseuses, élévation de sinus, pose des implants, pose de prothèses scellées sur implant, bridge complet.

Remarquez qu’il a été réalisé un vieillissement artificiel des dents sur les céramiques (sur la photo de droite post opératoire) selon les désirs du patient : 

Des débuts de racines dénudées, des fêlures verticales d’usure couleur tabac signent l’âge de cette personne amateur de cigares qui voulait de belles dents mais correspondant à son âge et son statut social.


Prise en charge des patients atteints de la phobie des dentistes

Le docteur Jérôme Weinman chirurgien dentiste à Paris et médecin dentiste à Genève à équipé ses plateaux techniques, dans ses cabinets parisiens ou genevois, afin de pratiquer des soins dentaires sans douleur et sans peur grâce à la sédation consciente ou semi-inconsciente ou même inconsciente à Genève en Suisse et à Paris en France, pour des personnes ayant peur du dentiste ou toutes les personnes désireuses de tranquillité et de rapidité lors des soins dentaire.

Les traitements dentaires sans douleur pratiqués par le docteur Jérôme Weinman et les soins dentaires sans douleur pratiqués sur ces patients relèvent des techniques suivantes :

L’implantologie avec la pose d’implant dentaire sous anesthésie générale ou sous sédation par diazanalgésie ; la greffe gingivale ; la chirurgie dentaire esthétique ; les prothèses dentaires ; les prothèses dentaires cosmétiques ; les comblement osseux ; la greffe osseuse dentaire ; le comblement de sinus ; la chirurgie maxillo-faciale ;  l’ostéotomie osseuse ; les PRF (Plasma Riche en Fibrine et les PRP (Plasma Riche en Plaquettes) impliquant les facteurs de croissance osseux, les cellules souches et les BMP2 ou bone morphogenetic protein de type 2 ; les greffons osseux biosynthétiques ou substituts osseux alloplastiques ; les greffes autogènes ; les allogreffes ou greffons osseux d’origine humaine ; les hétérogreffes ou greffons osseux d’origine animale; les membranes en collagène.

AVIS AUX INTERNAUTES :

Conformément aux principes déontologiques édictés par le conseil de l’ordre des Chirurgiens-Dentistes français, il est impératif de rappeler aux internautes que les cas cliniques présentés sur ce site ne doivent en aucun cas être interprétés comme une garantie de résultats en relation avec leur condition pathologique spécifique. Ils sont exclusivement présentés à titre illustratif, dans un but pédagogique visant à informer sur les traitements décrits dans les textes de ce site. Les exemples de cas cliniques traités ont pour vocation de permettre aux éventuels patients d’appréhender les résultats envisageables, cependant, ils ne peuvent en aucun cas être considérés comme étant systématiques ou garantis. Leur unique objectif est de faciliter la compréhension des protocoles de traitement mis en place, tels qu’ils sont vulgarisés sur ce site internet. Il est essentiel de prendre en compte que chaque cas clinique présente des particularités, des difficultés et des aléas toujours possibles. Cette réalité est indispensable afin d’appréhender de manière optimale les solutions proposées dans les plans de traitement établis par le Dr Weinman, permettant ainsi au patient de donner un consentement éclairé, à la suite d’une information claire et loyale. Il est donc primordial de se référer en tout temps à l’expertise du praticien et de considérer que chaque situation clinique est unique, pouvant entraîner des résultats variables, y compris des aléas voire des échecs potentiels.

La rédaction