NOS SOLUTIONS POUR FAIRE LES SOINS DENTAIRES MALGRÉ VOTRE PEUR DU DENTISTE
LA SÉDATION INCONSCIENTE : UNE TECHNIQUE RADICALE POUR TOUTES LES PHOBIES MÊME LES PLUS FORTES
GRÂCE À L’ANESTHÉSIE GÉNÉRALE ET LA NEUROLEPT-ANALGÉSIE
PAR LE DR JÉRÔME WEINMAN, CHIRURGIEN-DENTISTE À PARIS ET À GENÈVE
La sédation dentaire inconsciente est un protocole strictement encadré et réalisé par un médecin anesthésiste-réanimateur.
Cette procédure plonge le patient dans un coma de stade I (neuroleptanalgésie) ou de stade II (anesthésie générale), selon la complexité de l’acte à réaliser, l’état de santé du patient, ou le niveau de stomatophobie.
NOS TECHNIQUES D’ANESTHÉSIE GÉNÉRALE RÉALISÉE PAR UN MÉDECIN ANESTHÉSISTE PERMETTENT DE RÉALISER TPUS LES SOINS DENTAIRES MALGRÉ UNE FORTE STOMATOPHOBIE GRÂCE AUX TECHNIQUES DE NEUROLEPT-ANALGÉSIE ET D’ANESTHÉSIE GÉNÉRALE SANS PEUR NI DOULEUR : DE L’ESTHÉTIQUE DU SOURIRE AUX INTERVENTIONS DE CHIRURGIES ORALES, COMME LA PARODONTOLOGIE, LA POSE D’IMPLANTS DENTAIRES, ET LES EXTRACTIONS DENTAIRES
La sédation inconsciente est recommandée pour tous les soins dentaires lourds ou pour des patients stomatophobes.
Elle est particulièrement indiquée pour :
Le choix du mode de sédation inconsciente est toujours une décision concertée entre le chirurgien-dentiste, le médecin anesthésiste-réanimateur et le patient. Il dépend de nombreux facteurs :
Neuroleptanalgésie (coma de stade I) : La technique de la neuroleptique-analgésie selon la SFAR est une technique de sédation profonde qui combine des neuroleptiques et des antalgiques pour plonger le patient dans un état de conscience modifiée. Cette méthode est idéale pour des interventions longues et complexes sans recourir à une anesthésie générale complète. Le patient reste en ventilation spontanée, ce qui diminue certains risques liés à l’anesthésie générale.
Anesthésie Générale (coma de stade II) : La technique de l’anesthésie générale selon la SFAR plonge le patient dans une inconscience totale, avec une perte complète des sensations et une déconnexion totale du temps et de l’environnement. Elle est réservée aux interventions très lourdes en bloc opératoire, comme de larges reconstructions bucco-dentaires ou des chirurgies maxillo-faciales. Elle nécessite l’intubation et une surveillance cardiorespiratoire constante par un médecin anesthésiste-réanimateur.
À Paris : Le Dr Jérôme Weinman opère dans des cliniques chirurgicales spécialisées, notamment à Neuilly-sur-Seine, en partenariat avec des chirurgiens maxillo-faciaux et plasticiens pour les interventions de chirurgie orale lourdes.
À Genève : La Clinique Cléage à Genève propose un environnement unique en Europe. Elle dispose d’un bloc opératoire équipé, offrant un confort supérieur VIP et une sécurité optimale pour le patient. Contrairement à l’idée reçue, les tarifs en Suisse peuvent être plus compétitifs qu’en France, tout en offrant une qualité de soins supérieure.
L’anesthésie générale, bien qu’efficace pour les interventions lourdes, comporte plusieurs inconvénients :
Il est donc préférable de privilégier des techniques de sédation moins invasives, comme la diazanalgésie ou la narco-hypnose, qui suffisent largement pour la plupart des soins dentaires, y compris pour les patients souffrant de peur extrême du dentiste. Le gaz MEOPA et les comprimés de benzodiazépine peuvent également être utilisés pour apaiser les patients avant une sédation plus profonde.
L’anesthésie générale est un outil précieux dans le domaine des soins dentaires, particulièrement pour des situations cliniques complexes ou pour des patients présentant des besoins spécifiques.
L’anesthésie générale est préconisée pour des interventions chirurgicales complexes, telles que la pose de multiples implants dentaires, les greffes osseuses importantes, ou les reconstructions complètes des maxillaires. Ces procédures, qui peuvent nécessiter plusieurs heures de travail, bénéficient grandement de l’anesthésie générale, permettant une approche plus efficace et concentrée.
Les patients présentant des problèmes de santé qui nécessitent une surveillance constante des fonctions vitales (monitoring cardio-vasculaire, oxymétrie, pression artérielle) peuvent bénéficier d’une anesthésie générale pour assurer leur sécurité pendant l’intervention. Les patients à risque cardiaque, ou présentant des troubles respiratoires, sont particulièrement concernés.
L’anesthésie générale est souvent la meilleure option pour les patients souffrant d’une phobie extrême du dentiste, ou stomatophobie, lorsque d’autres méthodes de sédation (neuroleptanalgésie, diazanalgésie) ne parviennent pas à gérer leur anxiété. Selon des études récentes, jusqu’à 15% de la population souffre d’une forme de peur du dentiste, ce qui peut mener à une évitement total des soins dentaires (Dionne RA et al., 2008).
Les patients qui habitent loin des centres dentaires spécialisés peuvent trouver l’anesthésie générale utile, car elle permet de regrouper les soins dentaires en une seule séance. Cela limite les déplacements et concentre les traitements en une période restreinte.
Pour les professionnels avec un emploi du temps chargé, l’anesthésie générale permet de rationaliser et d’optimiser les soins dentaires en une ou deux séances maximales. Cette méthode permet de réduire le nombre de rendez-vous, tout en minimisant les interruptions dans leur vie professionnelle.
La neuroleptanalgésie est un choix de type de sédation parmis toutes les techniques de sédation semi-inconscientes, en particulier utilisée lorsque la diazanalgésie n’est pas indiquée ou jugée insuffisante. Plus puissante et adaptable à divers types d’interventions, elle offre une alternative efficace pour les soins dentaires complexes. En concertation avec l’anesthésiste-réanimateur, le chirurgien-dentiste peut proposer cette méthode pour des patients dont l’état de santé, le niveau d’anxiété, ou la nature des soins le requièrent.
Le terme « neuroleptanalgésie » a ses origines dans le vocabulaire médical des anesthésistes, bien qu’il désigne aujourd’hui une variété de protocoles. Autrefois basée sur l’utilisation des neuroleptiques, cette méthode s’appuie désormais principalement sur l’administration de Benzodiazépines. Le nom persiste néanmoins pour désigner l’ensemble des protocoles de sédation semi-inconsciente pratiqués aujourd’hui.
La neuroleptanalgésie implique l’administration de divers médicaments par voie intraveineuse, dont des benzodiazépineset des analgésiques. Cette combinaison assure un état de sédation profonde tout en maintenant une respiration spontanée. Contrairement à l’anesthésie générale, le patient sous neuroleptanalgésie n’est pas intubé et ventilé mécaniquement, ce qui confère à cette méthode une certaine souplesse et une sécurité renforcée.
Le patient peut quitter la clinique dès qu’il a recouvré ses esprits, mais il doit impérativement être accompagné et ne pas passer la première nuit seul.
Cette méthode est adaptable à une large variété de patients patients atteints de dentophobie et d’interventions :
La neuroleptanalgésie permet de plonger le patient dans un « coma » de niveau 1. Si son état de santé et le plan de traitement le permettent, cette technique peut être répétée plusieurs fois. Cependant, certaines limites et précautions sont à respecter :
La neuroleptanalgésie est totalement adaptable au type de soins, garantissant un contrôle total de la sédation. Voici quelques-uns de ses avantages majeurs :
La neuroleptanalgésie est indiquée pour un large éventail de soins dentaires, notamment :
En France, les interventions sous neuroleptanalgésie doivent être réalisées en clinique, dans un bloc opératoire doté d’un plateau technique adapté. En Suisse, la législation est différente, permettant la réalisation de ce type de protocole dans des cabinets dentaires équipés, offrant un confort et une flexibilité supplémentaires.
Lorsque le patient doit subir des interventions chirurgicales multiples et complexes (pose de nombreux implants dentaires, greffes osseuses, comblement de sinus, etc.), l’anesthésie générale peut s’avérer être la meilleure option. Elle permet de réaliser ces traitements en une seule séance, dans un environnement contrôlé et sans douleur. C’est une solution particulièrement intéressante pour les patients dont la santé est fragile ou qui souhaitent éviter le stress et l’épuisement liés à des rendez-vous multiples.
Ainsi plongé dans un « coma » de stade II, le patient est totalement inconscient, insensible à la douleur et aux sensations désagréables. Les soins dentaires sous anesthésie générale sont donc indiqués pour les interventions longues et invasives.
L’anesthésie générale en dentisterie est un procédé médical qui permet de réaliser des interventions complexes en plongeant le patient dans un état de sommeil profond. Voici ses caractéristiques principales :
L’anesthésie générale comporte certaines limites et contre-indications :
L’anesthésie générale offre des avantages notables pour certaines situations cliniques :
La consultation pré-anesthésique est obligatoire pour garantir la sécurité du patient. Lors de cet entretien, le médecin anesthésiste-réanimateur examine les antécédents médicaux, les traitements en cours et les pathologies éventuelles du patient. Des examens complémentaires (bilan sanguin, électrocardiogramme, radiographie pulmonaire) peuvent être demandés pour évaluer la compatibilité avec l’anesthésie générale.
Après l’intervention, le suivi du patient est crucial pour s’assurer de sa bonne récupération. En cas de chirurgie ambulatoire, le patient doit être accompagné et éviter de passer la première nuit seul. Pour les interventions plus importantes, une hospitalisation peut être nécessaire.
L’anesthésie générale est aujourd’hui une technique très sûre grâce aux progrès de la médecine. En France, environ neuf millions d’anesthésies générales sont pratiquées chaque année, avec un taux de mortalité extrêmement bas de 0,69 pour 100 000 interventions (Société Française d’Anesthésie et de Réanimation, 2020). Bien que les risques ne soient jamais nuls, les procédures modernes et la surveillance continue réduisent considérablement les complications.
L’anesthésie générale en dentisterie est une solution optimale pour les patients nécessitant des interventions lourdes, complexes ou particulièrement invasives. Elle est également indiquée pour les patients souffrant de stomatophobie sévère, ceux ayant un état de santé fragile nécessitant une surveillance constante, ou ceux cherchant à regrouper leurs soins dentaires en une seule séance. Cependant, elle doit être réservée aux situations où les autres formes de sédation sont insuffisantes.
Pour plus d’informations ou pour une consultation pré-anesthésique, n’hésitez pas à contacter le Dr Jérôme Weinman, chirurgien-dentiste à Paris et médecin-dentiste à Genève, spécialisé dans les soins dentaires sous sédation.
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